J'ai eu cette semaine le retour de différents contacts que j'avais lancé au début de l'été par l'intermédiaire des sites internet.
Le premier contact a été de la fédération du bâtiment concernant une annonce à laquelle j’ai répondu. La personne en charge du dossier a validé rapidement mes motivations et m’a dit reprendre contact avec le cédant pour lui proposer ma candidature. Charge à lui ensuite de me recontacter…
Le second a été d’un intermédiaire de transmission. Nous avons discuté presque une heure au téléphone de mes motivations, expériences et de mes axes de recherches. A la suite de cet échange, il m’a proposé une société se trouvant dans mon champ de recherche aussi bien au niveau géographique (ou presque m’a-t-il dit…), qu’au niveau secteur d’activité (assez proche de celui de l’informatique sans être purement une SSII), et également dans mes cordes au niveau valorisation. Je n’ai pas beaucoup plus d’information ! J’ai renvoyé le document m’engageant sur la confidentialité du dossier en fin de semaine : je devrais donc recevoir le dossier de présentation dans le courant de la semaine à venir.
J’ai rencontré un autre intermédiaire, sur Villefranche sur Saone. Nous nous étions déjà rencontré lors d’un speed dating organisé par la Cci de Villefranche sur Saone. Le but de cette soirée était de rencontrer un certain nombre de personnes/sociétés qui pouvaient répondre au cahier des charges de reprise des différentes personnes présentes.
J’ai eu une petite dizaine de contacts de 10 minutes chacun. Mais peu de rencontre avec des cédants. La majorité des personnes présentes étaient soit des intermédiaires soient des établissements financiers.
J’ai peu retiré de cette soirée.
L’entretien que j’avais eu avec SYNDEFI ayant été un peu court, nous nous sommes donc revus pour aller un peu plus loin dans l’exposition de mon projet. Le contact a été agréable.
La personne qui m’a reçu n’avait pas de dossier à me proposer, mais bon, le plus important est qu’ils connaissent mon projet et j’espère penseront à moi le moment venu…
Ce qui est ressorti de notre entretien est que, actuellement, subprimes obligent, les banques sont très frileuses pour l’accord des prêts aux repreneurs. Elles demandent des dossiers en béton (avec étude de marché et concurrentielle : normal malgré tout !!) et surtout une très bonne adéquation homme/société reprise.
Elle m’a aussi dit que j’aurais encore plus de difficultés si je reprenais une société qui n’est pas dans mon cœur de métier. Dans ce cas, ce sera à moi de faire la différence et de prouver que ce qu’ils considèrent comme un inconvénient peut se considérer finalement comme un avantage. En effet, je pourrais utiliser la complémentarité de mes compétences avec le métier de l’entreprise pour encore accroitre le busisness. Cette complémentarité est par exemple évidente dans le cas d’une reprise de société d’électricité…
Ce que je trouve un peu dommage, c'est que la décision de prêt se fera par des personnes que vous ne rencontrerez pas. La décision de l'octroi ou non du prêt va dépendre du dossier que vous aurez constitué. En aucun cas vous ne pourrez défendre tel ou tel point, éclaircir tel autre, ou tout simplement démontrer par votre implication et votre motivation qu'il s'agit d'un dossier tout à fait viable !
Comme le système ne peut être changé, cela veut donc dire que le jour où je devrais demander un accompagnement financier d'une banque, je devrais être extrêment vigilant à la qualité de ce dossier et surtout prendre le temps de le présenter à d'autres personnes afin de clarifier toutes les zones d'ombre !!!
Une alternative au financement des banques pourrait être les business angels... Mais là j'aborde un sujet que je ne connais pas... Quels sont les avantages de cette solution et ses inconvénients ?
Bonne semaine !!
Le premier contact a été de la fédération du bâtiment concernant une annonce à laquelle j’ai répondu. La personne en charge du dossier a validé rapidement mes motivations et m’a dit reprendre contact avec le cédant pour lui proposer ma candidature. Charge à lui ensuite de me recontacter…
Le second a été d’un intermédiaire de transmission. Nous avons discuté presque une heure au téléphone de mes motivations, expériences et de mes axes de recherches. A la suite de cet échange, il m’a proposé une société se trouvant dans mon champ de recherche aussi bien au niveau géographique (ou presque m’a-t-il dit…), qu’au niveau secteur d’activité (assez proche de celui de l’informatique sans être purement une SSII), et également dans mes cordes au niveau valorisation. Je n’ai pas beaucoup plus d’information ! J’ai renvoyé le document m’engageant sur la confidentialité du dossier en fin de semaine : je devrais donc recevoir le dossier de présentation dans le courant de la semaine à venir.
J’ai rencontré un autre intermédiaire, sur Villefranche sur Saone. Nous nous étions déjà rencontré lors d’un speed dating organisé par la Cci de Villefranche sur Saone. Le but de cette soirée était de rencontrer un certain nombre de personnes/sociétés qui pouvaient répondre au cahier des charges de reprise des différentes personnes présentes.
J’ai eu une petite dizaine de contacts de 10 minutes chacun. Mais peu de rencontre avec des cédants. La majorité des personnes présentes étaient soit des intermédiaires soient des établissements financiers.
J’ai peu retiré de cette soirée.
L’entretien que j’avais eu avec SYNDEFI ayant été un peu court, nous nous sommes donc revus pour aller un peu plus loin dans l’exposition de mon projet. Le contact a été agréable.
La personne qui m’a reçu n’avait pas de dossier à me proposer, mais bon, le plus important est qu’ils connaissent mon projet et j’espère penseront à moi le moment venu…
Ce qui est ressorti de notre entretien est que, actuellement, subprimes obligent, les banques sont très frileuses pour l’accord des prêts aux repreneurs. Elles demandent des dossiers en béton (avec étude de marché et concurrentielle : normal malgré tout !!) et surtout une très bonne adéquation homme/société reprise.
Elle m’a aussi dit que j’aurais encore plus de difficultés si je reprenais une société qui n’est pas dans mon cœur de métier. Dans ce cas, ce sera à moi de faire la différence et de prouver que ce qu’ils considèrent comme un inconvénient peut se considérer finalement comme un avantage. En effet, je pourrais utiliser la complémentarité de mes compétences avec le métier de l’entreprise pour encore accroitre le busisness. Cette complémentarité est par exemple évidente dans le cas d’une reprise de société d’électricité…
Ce que je trouve un peu dommage, c'est que la décision de prêt se fera par des personnes que vous ne rencontrerez pas. La décision de l'octroi ou non du prêt va dépendre du dossier que vous aurez constitué. En aucun cas vous ne pourrez défendre tel ou tel point, éclaircir tel autre, ou tout simplement démontrer par votre implication et votre motivation qu'il s'agit d'un dossier tout à fait viable !
Comme le système ne peut être changé, cela veut donc dire que le jour où je devrais demander un accompagnement financier d'une banque, je devrais être extrêment vigilant à la qualité de ce dossier et surtout prendre le temps de le présenter à d'autres personnes afin de clarifier toutes les zones d'ombre !!!
Une alternative au financement des banques pourrait être les business angels... Mais là j'aborde un sujet que je ne connais pas... Quels sont les avantages de cette solution et ses inconvénients ?
Bonne semaine !!